Le travail d'Ana María Millán aborde les politiques de l'animation et de la technique en relation avec les cultures et sous-cultures numériques, le genre et la propagande. Elle a développé des techniques basées sur le jeu de rôle et la reconstitution comme méthodologie pour réaliser une série de pièces qui se terminent sous la forme de films narratifs et de jeux vidéo.
Elle s'inspire des cultures amateurs, de la culture politique pop, des territoires sonores, de la nature et de la technologie, en incorporant les possibilités et les erreurs des répétitions, ainsi que des formes narratives considérées comme dysfonctionnelles.
Son travail a été présenté à And we learn to keep the soil wet CARA, NY, 2023 ; 13e Biennale de Gwangju. Minds Rising Spirits Tuning 2021 ; Art Encounters Biennial, Timișoara, Roumanie 2019 ; Kunstinstituut Melly (solo), Rotterdam ; El ruido de las cosas al caer, FRAC Provence Alpes Côte d'Azur, Marseille 2017 ; Immortality for all, Savvy Contemporary, Berlin 2016 ; Frío en Colombia, Luis Caballero prize (solo), Archivo General de la Nación, Bogotá 2015 ; Ir para Volver, 12 Bienal de Cuenca, Cuenca 2014 ; ¿Tierra de Nadie ?, Centro Cultural Montehermoso, Vitoria-Gasteiz 2011 ; AUTO-KINO ! présenté par Phil Collins, Temporäre Kunsthalle, Berlin 2009 ; Historias Colaterales, Centro Cultural de España, Guatemala 2008 ; I Still Believe in Miracles - part I, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris 2005.